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Le scan énergétique est juste !

La spondylarthrite ankylosante ou maladie de Bechterew commence souvent par des inflammations des articulations sacro-iliaques, les deux articulations du bassin, peu mobiles, qui relient les os du bassin à la colonne vertébrale. À partir de ces articulations, les inflammations peuvent gagner l’ensemble de la colonne et entraînent l’apparition de parasyndesmophytes (fine ossification verticale des fibres) qui raidissent la colonne vertébrale.

On ne connaît pas les causes de la maladie de Bechterew. On présume généralement qu’elle est due à un dysfonctionnement du système immunitaire. Par ailleurs, les facteurs génétiques jouent un rôle essentiel dans la maladie. 95% des personnes souffrant de la maladie de Bechterew sont porteuses du facteur héréditaire HLA B27. Mais elle peut aussi toucher des personnes qui n’en sont pas porteuses.

Au début, la maladie de Bechterew se manifeste le plus souvent par des douleurs sourdes dans la colonne lombaire et le fessier. L’évolution de la maladie est ensuite très variable. Il n’est pas rare que les douleurs dorsales se propagent de la région lombaire au rachis thoracique et cervical. Les inflammations peuvent aussi toucher des articulations plus importantes (épaules, coudes, hanches, genoux), les insertions tendineuses et l’iris de l’œil.

Hier, samedi 5 septembre à 15 heures, j’avais justement rendez-vous avec une femme de 36 ans, originaire de la région de Mersch, souffrant depuis des années de cette maladie. Tout à commencer avec le pouce de la main droite et peu à peu la maladie a gagné les mains, les bras mais aussi les hanches et le haut des jambes. Les examens cliniques sont formels, ma cliente souffre d’une spondylarthrite ankylosante, sans facteur génétique HLA B27 (ce diagnostic a été posé (et confirmé par une IRM) par un éminent rhumatologue du CHL de Luxembourg). Ma cliente travaille encore, mais les tâches quotidiennes de la vie sont devenues, pour elle, synonymes de calvaire !

Ce rendez-vous était l’occasion pour moi, de tester la puissance du nouveau Métatron Hospital sur ce type de pathologie confirmée. Nous procédons, comme d’habitude à l’analyse. Le Métatron confirme avec ses mesures propres, que nous sommes en présence d’une maladie auto-immune. Qu’il n’y pas de facteur génétique HLA B27, et que ma cliente souffre de douleurs articulaires sur les articulations sacro-iliaques. Le scan est juste et parfait !

Passons maintenant à la phase « thérapie » de notre séance, que ma cliente attendait avec impatience (elle avait déjà fait de la Biorésonance en Belgique). Je décide de travailler en premier lieu sur le système immunitaire, les premiers résultats sont là : la main gauche redevient tout à fait normale dans sa mobilité, les douleurs articulaires dans les hanches et les jambes ont disparu. Il ne reste plus que la main droite, ou plus précisément le pouce de la main droite (le reste de la main a repris sa mobilité d’avant le début de la maladie).

J’abandonne un moment le système immunitaire pour me consacrer aux articulations et en particulier celle de la main. Petit à petit, le pouce reprend sa mobilité. Notre séance s’achève, ma cliente me confirme sa satisfaction et sa surprise sur des résultats qu’elle n’espérait pas aussi probants. Avant de nous quitter, elle me dit : « En moins d’une heure, on est revenu au début de ma maladie, la où tout a commencé : une légère rigidité dans le pouce droit. Franchement, je ne pensais pas en arriver là aujourd’hui ». Nous nous quittons. Sur le pas de la porte, elle ajoute :

« Je ne sais pas comment vous remercier ! Sans le Covid-19, je vous aurai embrassé trois fois ! Merci, Merci, Merci »

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