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Incroyablement allergique !

Le bruit d’un vieux camion Berliet !

Mai 2014, une jolie journée printanière pleine de soleil, les arbres sont en fleurs, Depuis mon bureau qui donne sur le parc à Esch / Alzette, j’observe les enfants qui profitent de cette belle matinée… Mais la sonnerie de mon téléphone vient tout à coup perturber mes rêveries bucoliques… Au bout du fil, mon comptable qui me dit : « Salut ! Écoute, tu aurais une place pour une collaboratrice… Elle souffre tellement, je ne supporte plus ni de l’entendre respirée, ni de la voir dans cet état ! Ça me fait tellement mal de l’entendre ! Je peux venir quand avec elle… ? C’est urgent ! »

Devant la pression de l’homme, je décide de modifier mon planning, [bye-bye ma pause de midi], et je lui propose de venir à l’heure du déjeuner à mon cabinet. Dommage pour mon sandwich que j’avais prévu de déguster dans le parc sous le soleil, mais l’homme n’était pas du genre à s’affoler pour rien.

12h très précise, on sonne à ma porte, mon bureau de l’époque était au rez-de-chaussée, à quatre ou cinq mètres de la porte d’entrée de l’immeuble, je déclenche la gâche automatique, et j’entends dans le couloir le bruit d’un « vieux moteur Berliet mal réglé », c’était le bruit de la jeune femme qui tentait de reprendre son souffle accompagné de mon comptable. Elle était allergique au pollen ! Incroyablement allergique ! A un tel point que marcher quelques mètres, gravir un étage dans la Fiduciaire , lui était devenue quasi impossible sans déclencher une toux et des bruits affreux. Ses poumons et tout son corps souffraient tellement (Je n’avais jamais rien entendu de pareille) !

Sans attendre nous démarrons la séance de Biorésonance, et peu à peu, la jeune femme, nous revenait, les difficultés respiratoires se dissipaient lentement pour laisser la place à un souffle quasi normal. Son visage, extrêmement livide, reprenait doucement des couleurs.

La crise était passée ! L’allergie avait disparu comme par magie, pourtant les fenêtres de mon bureau étaient ouvertes. Ouvertes sur un parc, plein d’arbres qui lâchaient leur pollen sous l’impulsion d’une brise légère…

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