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Écouter sa voix intérieure

C'est souvent parce que j’ai de la difficulté à transiger avec la réalité de tous les jours. Un peu las de voir ce qui se passe autour de moi et très attaché au passé, je peux me complaire dans un monde imaginaire et cela peut m' amener à vivre dans la passivité. Un certain laisser aller s’installe « Pourquoi s’en faire de toute façon? » Je subis les événements plus que je ne les crée, ce qui peut me lisser un goût amer.

Cela est particulièrement présent dans le domaine de mon travail : j’ai d’énormes aspirations, mais mes peurs m'empêchent d'avancer et freinent les promotions que je pourrais avoir. Il s'ensuit une insécurité face à l'argent. Je me sens hors norme, différent des autres. Ce peut être, par exemple, au niveau de mon travail ou de mon couple qui me paraît mal assorti. J'essaie de rester dans une structure définie. C'est la seule façon d'obtenir l'approbation des autres, leur attention et de conserver une image positive.

Tout comme L4, j'ai parfois besoin de me protéger en me fermant, car je peux facilement me laisser distraire ou influencer par ce qui m'entoure, notamment par ce que les gens peuvent dire de moi, ce qui peut grandement affecter ma sensibilité. Cela touchera aussi ma sexualité que j'aurais tendance à nier. Je me casse la tête exagérément et mon discernement est parfois biaisé ou défaillant, car mon mental est très rigide; cela m’empêche d’avoir une vue d'ensemble d'une situation et, par le fait même, de trouver des solutions ou des possibilités. Je veux alors contrôler au lieu d'écouter ma voix intérieure. Il est à noter qu’une vertèbre L4 en mauvais état peut entraîner des douleurs dans la région de mon nerf sciatique, du corps utérin chez la femme et de la prostate chez l'homme.

J’accepte d’écouter ma voix intérieure, ce qui me redonne la maîtrise de ma vie. Je reprends mon pouvoir de créer ma vie comme je le veux et je retrouve le goût d'accomplir de grandes choses!

[Extrait du livre le grand dictionnaire des malaises et maladie – de Jacques Martel]

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