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Lumbago

Le dernier boulon
Un faux mouvement, une vraie prise de conscience

Un matin de printemps, Antoine, 69 ans, décide de changer lui-même les pneus de sa voiture. Ancien mécanicien, il se sent encore solide et sûr de ses gestes. Le cric, les boulons, les jantes… tout semble sous contrôle. Trois roues plus tard, la satisfaction est au rendez-vous. Mais au moment d’attaquer la dernière, tout se complique. La jante résiste, la posture devient maladroite. Un faux mouvement, un craquement sec dans le bas du dos. La douleur foudroyante le cloue sur place. Impossible de se redresser, c’est un Lumbago !

Sa compagne, inquiète mais pragmatique, sait quoi faire. Elle pense immédiatement à la Biorésonance à Mersch. « On va appeler Monsieur Esch, il saura t’aider », dit-elle avec confiance.

Quelques heures plus tard, Antoine est installé dans le cabinet. Le scan débute, les mesures s’affichent. Le travail commence, précis, méthodique. Pendant quarante-cinq minutes, les fréquences s’ajustent, rééquilibrent, relancent ce qui s’était figé.

À la fin de la séance, Antoine se lève prudemment… puis se redresse complètement. Plus de blocage. Il marche, s’assoit, se penche — sans douleur. Un sourire s’esquisse. Le lumbago, déjà, n’est plus qu’un souvenir.

La Biorésonance aura réussi deux choses : supprimer la douleur… et lui faire prendre conscience qu’il y a un âge pour tout.

« C’est la dernière fois que je change moi-même mes pneus, » dit-il en riant. « L’année prochaine, c’est le garage qui le fera. Je n’ai plus l’âge pour faire des trucs comme ça ! »

Et dans le silence apaisé du cabinet, il comprend que le corps n’est jamais un simple outil, mais un messager. Chaque douleur raconte une tension entre le vouloir et le possible, entre la force et l’écoute. L’âge n’est pas une limite, mais un rappel à la mesure. Soigner, c’est rétablir le dialogue entre ce que l’on fait et ce que l’on ressent.

Être disponible face à la douleur, c’est bien plus que soigner : c’est accueillir. Quand le corps ne peut plus bouger, c’est la présence du thérapeute qui devient mouvement. Écouter, c’est déjà rétablir une circulation entre deux vies, deux consciences. Dans cette résonance silencieuse, la confiance renaît, et avec elle, le souffle du vivant.

Car toute guérison commence là où quelqu’un accepte simplement d’être là.

Quantiquement vôtre,
Eric ESCH
thérapeute en Biorésonance
Biorésonance Center Mersch

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