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Le sort en est jeté...

Récemment, une maman et sa fille de 40 ans prennent rendez-vous pour 2 séances de Biorésonance, l’une à la suite de l’autre. Le jour venu, nous démarrons notre consultation par la plus jeune femme. La personne prend place dans le siège prévu à cet effet, est me dit :

« Voilà Monsieur, je suis venue vous voir, pour ma nuque et pour mon épaule gauche. Pour le moment j’ai beaucoup de difficultés à bouger mon bras gauche et tout mouvement est un vrai calvaire pour moi… Normalement, les médecins ont prévu une opération des cervicales, je souffre d’une hernie discale avec compression probable d’un nerf du cotés gauche. Les infiltrations ne servent plus à rien… Au quotidien c’est terrible, ma souffrance est quasi insupportable » Et elle ajoute « Mais bon je comprendrais, si vous ne pouviez rien faire pour ça, mais j’ai aussi des problèmes de digestion peut-être que pour ça, vous pouvez m’aider»

Suite à ce descriptif très précis des zones douloureuses, je m’adresse à ma cliente et lui dit : « Si nous avons de la chance, et que je réussi, la disparition des douleurs de l’estomac pourrait redonner du mouvement à l’épaule et supprimer en même temps les douleurs à la nuque ». À ce moment de notre rendez-vous, la femme me regarda avec des yeux exorbités, je lisais sur son visage, plus qu’un simple étonnement… Un mélange de panique et méfiance… Elle devait se dire : « ce type est totalement dingue »

Elle accepte malgré tout de poursuivre et je procède donc comme expliqué, en démarrant par les problèmes de digestion et je tente de rééquilibrer énergétiquement l’estomac. Après quelques minutes de thérapie, les choses semblent s’améliorer du côté digestif, je m’adresse à la personne en lui demandant de faire une légère rotation de la tête et de bouger l’épaule et le bras gauche. La quadragénaire s’exécute sur le champ, regarde sa mère et très émue :

« Maman, je n’ai plus rien au bras et l’épaule, je peux tourner la tête normalement, il me reste juste encore un peu de tension dans la zone ». Elle était au bord des larmes d’émotion.

A la fin de la séance, tout avait disparu, et ces douleurs n’était qu’un vieux souvenir.

Comme disait Jules César : Alea Jacta Est (le sort en est jeté)

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