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Histoire de douleurs « fantômes »

Ma rencontre avec plusieurs patientes souffrant de la même pathologie m’incite à publier ce message. Cette problématique ne date pas d’hier, voilà près de 10 ans que je rencontre des femmes souffrant quotidiennement de douleurs « fantômes » dans tout le corps, douleurs dans les muscles des jambes, douleurs dans les trapèzes (au niveau de la nuque) et toujours une douleur intense au niveau du sternum. La médecine conventionnelle a même trouvé un nom générique à ce type de symptômes : Fibromyalgie ou dérèglement du système neuro-végétatif (et ses dérivés).

Pourtant, si on approche cette problématique sous l’angle psycho-émotionnel, on retrouve presque toujours un profil type ou commun à chacun des cas rencontrés. En voici les grandes lignes :

1) Une dépendance financière : Toutes les personnes rencontrées ont une dépendances financière avouée ou non de leur conjoint. Grossesse, perte d’emploi (pour des raisons diverses) ont créé une situation de déséquilibre dans les ressources financière quotidienne du couple. Finalement, l’un travail et l’autre devient dépendant de… voire même pour bon nombre d’entre-elle dans l’incapacité de sortir de cette situation… Et là un sentiment d’emprisonnement s’installe.
Une prison même dorée reste une prison !

2) Un manque d’attention marqué : Ce déséquilibre de la situation financière évoqué ci-dessus constitue le point de départ d’une nouvelle problématique que l’on pourrait résumer par : Chacun sa vie ! Finalement, Monsieur travaille, assure les apports financiers, et Madame reste à la maison… Après quelques années dans cette situation, l’Actif (Monsieur) finit par se désintéresser de la vie de celui qui ne travaille plus. La femme finit par devenir transparente ! Tellement transparente qu’elle finit par avoir le sentiment d’être inutile, sans intérêt, sans atouts, sans compétences…

Attirer le regard… : Bloquée financièrement par une situation dont elle ne peut plus sortir (encore moins au Luxembourg où l’immobilier est devenu inaccessible pour une personne seule), dans l’incapacité de trouver un emploi stable et générateur de suffisamment de revenu pour vivre seule. La femme isolée, sans réelles perspectives d’un futur meilleur, finit par chercher faute d’amour, de tendresse et d’attention, la compassion de l’autre à travers la maladie…

La compassion : Du latin compassio, ‘fait de souffrir avec’

En définitive, la maladie, les douleurs inhérentes, deviennent progressivement le seul lien « humain » dans cette relation totalement déséquilibrée et l’unique moyen pour la femme de dire : J’EXISTE !!

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