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« Vos dents sont nickels ... ! »

« Les préjugés ont la dent dure » 20 Novembre 2014, originaire de CASTELSARRASIN (Tarn-et-Garonne), un couple rend visite à sa famille résidente au Luxembourg. Les enfants qui étaient déjà client chez moi, leurs proposent un rendez-vous à mon cabinet.

L’homme se présente chez moi, avec un bras et une épaule totalement figés. Nous entamons la séance de Biorésonance, le septuagénaire, me dit avec beaucoup de calme et d’élégance :

« Je ne sais pas ce qui se passe avec mon bras droit, mais je crois qu’en rentrant l’opération me parait inévitable (c’est d’ailleurs ce que mon médecin généraliste m’a dit … »

A ce moment, c’est la stupeur et l’inquiétude pour moi, la machine de Biorésonance ne montre aucune perturbation sur le membre droit. Je cherche, étudie le cas, mais rien ne procure un vrai mieux significatif. Je m’excuse au près de cet homme très charmant de ne pas pouvoir l’aider et conclue notre rendez-vous en lui disant « Monsieur, je serais à votre place j’irai chez mon dentiste, mon système démontre une perturbation au niveau d’une molaire inférieure droite. Je vous recommande de demander une radio de la première molaire ». Le rendez-vous s’achève et nous nous saluons.

L’homme rentre à son domicile, prend rendez-vous, chez son dentiste et lui dit « Monsieur, j’ai rencontré une personne faisant de la Biorésonance à Luxembourg, il m’a conseillé de faire une radio de la première molaire… ». Le dentiste lui répond : « La Biorésonance (pfuff), je ne connais pas, mais vos dents sont nickels, et vous savez vous ne devriez pas faire confiance au premier charlatan venu… ». L’homme lui dit alors « écoutez, je souhaiterai aller au bout de ma démarche, j’insiste pour la radio ». Finalement, le dentiste accepte, probablement pour faire plaisir à son client.

Quelques minutes plus tard, le dentiste revient avec la radio dans les mains et dit au Monsieur :

« Je dois extraire cette dent, il y a une poche de pue sous la dent… » L’extraction terminée, l’homme rentre chez lui, le lendemain, il entreprenait la peinture des plafonds de sa maison, son bras avait retrouvé toute sa force et sa vitalité.

Les préjugés ont vraiment la dent dure !

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